La passion selon saint Hadoc..............................

décembre 2011 modifié dans Archives (Général)
La passion selon saint Hadoc...

Comment nous est venue la passion pour la motocyclette en général ?...

Voilà une question qui mérite réponse (comme toute question, sinon, pourquoi s’interroger ?).

Chacun aura ses mots à dire, ou plus exactement ses lignes à écrire... voici les miennes...

gageons qu’elles seront lues... il y a tellement de gens qui parlent seuls,

ou qui parlent pour ne rien dire, ou encore qu’on entend mais que l’on n’écoute pas...

et ces autres écrits qui ne sont jamais lus !... Ou alors, peut être que les gens n’ont plus rien à partager,

encore moins à transmettre ?....

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Woin, tu parle d'un titre & d'un "intro". :mrgreen:

Ce texte ci-haut, est légèrement modifier, mais ça me ressemble,

il est plein de vérité et je vais raconté l'histoire de la naissance de cette passion,

ce que je ne sais pas encore, c'est si se sera l'histoire courte

ou l'histoire longue..............l'histoire le dira...........

Donc, soyons patient, et vous pourrez émettre vos commentaires sans problème

et même vous raconté aussi.

C'est la passion qui "mène"..............

-------------------------------------------- :wink:

---------Je suis le quatrième d'une famille de cinq enfants.
J'ai 10 ans avec le plus vieux, 8 ans avec le deuxième, 4 ans avec ma soeur, et il y a 4 ans avec le plus jeune.
J'ai vécu les plus belle année de ma vie (10 ans) à la campagne, sur une terre de subsistance, qui nous faisait bien vivre, pas riche, mais nous manquions de rien.
Au départ, étant donné que j'avais 4 ans &+ de différence avec mes frères et soeur, je me suis habitué à m'arrangé tout seule, et j'ai un tempérament comme ça, et oui ça commence jeune, je suis né comme ça, et la vie a faite que ça c'est développé.

Première "pose", je reviens, à suivre..................

Donc, pour m'amusé, il y avais plein d'animaux, à la ferme, comme à l'état sauvage, dans les champs, les bois, partout, quel plaisir de côtoyer tous ce monde, et de temps à autre de jouer au plus fin avec eux. Que se sois le renard qui venais nous "chipé" une poule de tant à autre, et que ça faisait ragé mon père, et tous les deux, (mon père et le renard) faisait tout en son possible pour leurré l'autre, nous ont trouvais ça très drôle, il arrivais toujours à le déjouer et lui chipé une autre poule sous ces yeux.
À la maison, j'étais comme laissé seule à moi même, ma soeur trop "vieille" pour moi, et mon jeune frère trop "jeune", alors je partais à l'aventure, dans les champs, les bois, nous avions une rivière, j'y "chassait" les écrevisses de rivière, et autre "bibites" que l'on trouvent au alentour. Je me bâtissait des maisons avec du bois mort, j'essayait de trouvé des nids d'insectes volants piqueur. Des bourdons surtout, assez inutile sur une ferme, et toujours "niché" dans des endroits ou nous passions, et là on se faisait piqué, alors c'était de mise, le premier qui en trouve un, il averti tous le monde, et là, c'est la guerre. Ont est tous à une bonne distance du nid, il peut être n'importe ou, dans un vieux siège d'un "slayé", ou "cariolle, dans un mur d'un bâtiment, et là ont tir des roches, et oui, à la campagne, le sport le plus populaire, c'était tiré des roches, sur n'importe quoi, n'importe ou, n'importe comment, l'importent, c'est d'avoir du "vizou" comme le disait mon père. Ont se faisait des concourt du meilleurs tireur de roches, des pots, bouteilles, canes vide, tout ce que l'on peut "visé" est propice à recevoir une roche, y comprit le frère qui viens de faire une farce à un plus vieux, et là, il faut courir vite, et en plus, zig zager très vite, mais maudit qu'il avaient du "vizou".
Pour les insectes piqueurs, après avoir été agacés comme il faut, là ça sortait un "gang", ça grondais pas à peut près, là il était de mise de pas bougé d'un oreille, ont restait là planté ben raide, sans bougé, ça grondais pas à peut près, mais il ne nous touchait pas, si on ne bougeais pas, mais pas pan tout, le premier qui remuait, bingo, sans était faite pour lui, il s'en tirais avec au moins une bonne "boursoufle" si c'était pas pire. Je me souviens d'avoir bougé une fois, et je l'ai eu en plein front, je suis tombé sur le c.....,mais ça faisait partit de la game.
J'ai jamais été très "écoutant", avec deux "grand" frères, une "gande" soeur, un papa, une maman, c'était trop pour moi. Les champs, la nature, le calme, les bois, la rivière, c'était pour moi. Il y avait certes mes cousins et des "cousines" juste voisin, c'était les enfants du frère de mon père, ti-Louis, qui s'appelais, pas plus parlant que son frère, deux pareils, maudit gars, sont ben toutes pareil, :roll: Bon, pour en revenir aux cousins et cousines, c'était ben le fun. Avez-vous une idée à comment ça peut "flayer" un vieux 'houde" de char, Chevrolet mil-neuf cent-tranquille, il avais un avant en pointu comme un canot, qui s'élargissait vers la fin, côté de l'habitacle de l'auto.
Nous, ont s'assaillaint une dizaine là dedans, le "houde" je parle, et avec un champ de neige très dure sur 1/4 de mille, ça filait un une vitesse ahurissante, mais après, fallait remonté.............. :( à pieds...............
Avec tous se monde tout près, les "party" était fréquent, ont avais du fun toute le gang. Je me souviens, mon oncle travaillait pour la municipalité pour les "travaux" de voirie, et il avait de la dynamite dans une petite "laiterie", des fois on se cachait là dedans, au travers des caisses de bâtons tous rouge, ont les prenaient dans nos mains, ont avais pas le droit, mais on le faisait quand même.
Mais le "must" c'était de faire les foins toutes la gang, la chaleur qu'il faisait, le plaisir de jouer ensemble, de travaillé, et le bon goût du "koolaid" très froid, bien caché sous un arbre, à l'ombre, et que c'était bon, du "koolaid"....................... :D
Après, le soir, passé le bon souper tous ensemble, ont attendais la noirceur pour jouer à la "cane", peut importe l'âge, y a que là que j'avais l'impression de faire partit de la gang, ont avais tous le même objectif, botté la cane et partir se caché, et de laissé celui ou celle à qui c'était le tour, de nous trouvé les une après les autres, à la noirceur.
Ma soeur, woin, sé pas drôle d'avoir une soeur quatre ans de plus que sois, elle veux me "mené" par le bout du nez, elle était pas mal gâté, la fille à sa maman, son lit à elle tout seule, sa chambre à elle, et plein de passe droit, elle n'avais qu'à crier, pour que l'on en mange tout une.................a les filles, elle nous en a faite voir à toute la gang, mais aujourd'hui nous l'aimons beaucoup. Je me souviens qu'elle passait le râteau avec le cheval, c'était pour "kliné" les coins dans les champs, qu'ont ne pouvaient faire avec la grosse machineries. Un beau jour, j'ai décidé de faire comme elle, elle était partit ailleurs, j'ai prie tout le "grément" pi j'ai commencé à raclé dans les coins, c'était le fun de manoeuvré tout ça, c'était assez physique, mais c'est la première "patante" qui avance tout seule que j'ai conduit, tiré par le cheval, j'était très fier de moi, mais pas "la soeur" qui m'a cassé mon fun assez raide en revenant.

Bon, là c'est une petit pose, # 2, dodo.

Lundi 29 août 21,33

À+

Donc, c'est certain que sur une ferme, il faut travaillé, mais moi, j'avais des "grands" avant moi, pas moyen de rien faire, si ce n'est de les aidé eux à faire leur "job", pi aucune gratitude en plus. Mais en "grandissait" mon père c'est dit que je pourrais certainement conduire le tracteur, c'était un "International B 250 Dièsel" c'était assez gros pour un "ti cu" de l"époque, mais j'ai adoré ça, j'avais de la difficulté c'est certain, mais maudit que c'était le fun. Meton que les changement de vitesses ne se passais pas en "douceur", bon, mais y avais qu'à bien se tenir en arrière c'est tout. C'est pour arrêté le problème, je devais me tenir par dessous le "stéring" à deux bras pour réussir à compressé la "cluch et les deux "brakes" arrière en même temps, debout sur les "pédales", imaginé quand je lâchais tout ça en même temps, "au'yabe" le point de friction, y avais qu'a bien se tenir c'est tout, en avent mon "kiki" icite ont ramasse du foin.

Pi ma soeur elle, des fois, elle se promenais à cheval, une bride, une poche de jute, pi go. Mais y avais qu'elle qui avais le droit, quand je vous dit, ha les filles! Mais ça c'était sans conté sur ma détermination, mon entêtement et ma ruse avec mon père et tous les autres qui allaient me "stoulé" à la première aucase.
Le rang chez nous est entièrement bâti sur une colline, donc tous les terres avaient un côté descendant vers le bois, avec une bonne pente. Si je me trouve dans un champ, personne ne peut me voir des bâtiment. Donc, si je vais cherché le cheval dans le champ, personne ne me voie...................... :)

Donc, pas de problème, un petite chaudière de moulé, la bride, une poche de jute, et me voilas partit pour toute une aventure.
Je cris au cheval, qui monte tout suite vers moi, pas méfiant une minute, il se panche pour mangé de la moulé, qu'il adore, moi je lui passe la bride, la poche de jute et bingo, reste plus qu'a le monté........................ :oops:

À moins de dix ans, mon âge app à cette époque, un cheval c'est haut en maudit. Mais c'est sans compté l'imagination du "ti gars". J'amène mon cheval par la bride jusqu'à une clôture, je monte dessus, et me glisse sur la bète, bingo, me voici cavalier, c'est très impressionnent, haut, si je tombe en bas de ça, je me "pète la margoulette" c'est sur.

Bon, le deuxième défi, resté en selle, et pas me faire poignée. :twisted:
Me promené la dessus, c'est fantastique, je tire à gauche, ça tourne à gauche, là il me prend l'idée d'allé plus vite, ben oui, je suis pas mieux qu'un autre, nous la vitesse, y a que ça. Faque j'essaies toute sorte de geste, parole, je bouge les fesses par en avent, par en arrière, je lui parle, tire les "cordeaux" rien n'y fais. Je lui donne un claque sur une fesse, .....................ça c'était pas l'idée du siècle, ça clenche cette affaire là, juste le coup que ça donné, me voilas en perdition, deux foulé et je suis partit vers la terre ferme, je m'accroche de toute mes forces aux "cordeaux" pour pas me planté trop raide, et surprise, je reste accroché au coup du cheval, sans trop de mal, je suis arrivé sur terre presque sur pied, si non une maudite frousse. :mrgreen:

Un peut remis de ma frayeur, je me dirige vers une clôture pour recommencé le cérémonial de tantôt, avec la même détermination. Je peut allé ou je veux avec ça, c'est fantastique, ça avance tout seule, il marche d'un pas assuré, digne, fier, je le trouve beau, je caresse son museau, sa joue du bout des doigts, il me regarde en hennissant, avec ces grand yeux noir, et peut être qu'il se dit, "si tu recommence mon coco je te sert la même médecine que tantôt".................. #-o

J'ai fais plusieurs fois le ce genre de promenade interdite, si bien que mon partenaire d'évasion commençais à me donné du fil à retordre. Une fois, au moment on j'était perché sur la clôture pour le monté, celui-ci c'est tassé tout simplement, trop loin pour que je puisse le monté, je suis re-descendu, pour le "tassé" contre la clôture, et une fois monté sur la même clôture, il se tasse à nouveau....................... #-o là c'était le comble, il se foutais de moi ben raide, mais je n'avais pas dit mon dernier mot, les idées que l'on peut avoir quand on veux faire une ryde, c'est fou, le sentiment de liberté que ça procure, je voulais pas lâché. Ce canasson ne m'auras pas si facilement. Je l'amène près d'une barrière en planches, qui est utilisé pour "fermé" l'accès d'un champ à un autre, je le pousse contre la clôture, attache les "cordeaux" à la clôture, et j'ouvre la barrière et le coince entre la clôture et le barrière, ça faisait comme un park ou il était coincé, je le détache je monte sur la clôture, et là je le fais reculé, et re-bingo, c'est partit pour une autre belle balade, dans les champs, les bois, tranquille, seule moi et lui................. :) que de bo souvenir, que c'était agréable de respiré un tel liberté, avec la plus belle conquête de l'homme.
Un jour, j'aurais mon cheval, je vais l'appelé Stewbal......................


Autre ti brake Mardi 30 août 14,29 h


---------------------------------------- :wink:


Bon, là Mercredi 7 septembre 08,43 a.m.

------------Ce matin je devais décollé pour "l'aventure", mais je me suis fait "collé" un cours à "souard", donc je continu mes "péripéties".

-------------Et un beau jour mon père arrive avec une bicyclette, oui je c'est que c'est con de fêté un "événement" pareil, mais dans les année "séventine", dans notre "rang" un béchique à pédales" ça courait pas les "rangs". Je le regardais en le "déshabillant des yeux, ben oui, je voulais savoir comment ça marchait. J'écoutais les "autres", ils partaient avec "ça" comme ils voulaient, un peut tout croche, mais ça vais l'air le fun. Mais, à ma grande surprise, c'était pas pour moi............."tasse toi, t'es trop petit", qu'ils disaient, de toute évidence, mon "émancipation" passerait par autre chose. Je regardais cette "chose" là, qui traînais dans le "hangar", et quand ils en avais besoin, ils partaient, même parfois à deux dessus, un sur la "bart". Moi je regardais ça, un jours je le pris, je le poussait comme ça, par les "poignées", je le roulais, je freinais, mais était incapable de monté dessus.
-----------J'arrivait à monté un cheval deux fois plus haut que moi, mais était incapable de monté là dessus!@#$%?&*. Désespérant. J'ai faite plusieurs tentatives, j'avais le tête dure, et j'avais rien d'autre à faire que d'essayer, et j'ai tu essayer dans ma vie................. J'ai aussi remarqué qu'il y avait un "emblème" sur le "frame" en avant, il était identique à celui qu'il y avait sur le sacs de farine de ma mère, un gars habillé en vert, un curieux chapeau pointu sur la tête, un arc dans les mains, avec l'inscription en dessous "ROBIN HOOD". Vous fouter pas de ma gueule, c'est vrais. Je pensait que mes parents avais acheté "ça" avec des coupons rabais. À cette époque, c'était ça, il y avait des coupons partout, il suffisait de les accumulés pour avoir des affaire gratis. J'ai pensé que c'est comme ça qu'ont avaient eu une bicyclette, ben je veux dire les "autres", parce que moi, j'avais une "bebelle" q'j'pousse, rien d'autre.
---------- Chez nous, il y avais deux "entrée" pour arrivé à la maison, une sur un bort, et une sur l'autre bort, ben quoi, c'est ça. Une des deux avait une "légère" pente vers la grange. Et un jour, j'ai eu l'idée de me placé en "haut" de la pente et de "monté' un pied sur une pédale et de me laissé descendre. En "vla" une idée, ben oui, j'en est eu des idées pareille dans ma vie, je vous dit pas, deux clavicule de cassé, et une autre fois, le doc dit à mes parents, "monté le à Québec si y'er pas mort y vont peut-être faire qu'chose"!@#$%?&*(. Et, comme je savais pas ce que c'était le "balant", ben le lois de Murfay ou celle de la gravité a fait le reste, j'en est pris toute une, à pleine face sur la bicyclette, couché par dessus, les mains, genoux, ect ect, pi ben, je me suis relevé, et j'ai recommencé................................la tête dure tu dit :twisted:
------------Pi, à force de m'amusé à descendre comme ça, un jour je me suis passé la jambe sous la barre, et là, la libération, moi aussi je pédalait, j'avançait avec "ça", je me dirigeait avec peine, mais ça marchait, j'arrivait à freiné, c'est quand même important, mais là y avait comme un "vent" de liberté qui flottait dans l'air, et aussi, je montrais ce que je pouvait à mon "ti" frère, ben oui, j'était pas "ringare" comme les autres, lui aussi avec le droit de savoir..............
------------Et, là mon père qui me voyait faire me prit en pitié, probablement, je cru quelque fois qu'il était fervent de justice lui aussi, mais il n'en parlais pas, il était de cette génération là lui, ils disaient rien à cette époque.
Donc, un beau jours, en revenant de faire les "commissions" il débarque de la valise de l'auto la bicyclette avec la "barre" coupé, comme sur une bicyclette de filles, et là je pouvait pédalé allègrement, le vent me portait, la route (le rang) s'ouvrait à moi, je sentait comme un vent de liberté me soufflé dans les cheveux, maudit que c'était le fun, grisant....................mais, c'était sans compté avec les "autres"............


Bon, le travail m'appel.................10,38, autre pose, à bientôt.


------------------------------------------ :wink:
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Sur la face de la tablette ou reposait une panoplie de pièces de moto de toute sortes Burt Munro avais inscrit " hommage au Dieu de la vitesse"
Je te salut toi homme des grand espaces.
HADOC

Réponses

  • Hadoc, y sont longue tes poses, ont a hate de lire la suite. 8)
  • 8) 8)
    Comme j'aime te lire ,je vais etre tres patiente :lol: :lol:
    Pour la suite......
    J,ai toujours aimé le sentiment d'etre libre,j'aime la nature ,les odeurs,les couleurs......la solitude.

    Je me suis apercue que cette passion me permet de liberer un coté de moi.....
    Enfiler un déguisement,écouter le ronronement de mon engin.......
    Quand je roule,j'ai le grand sourire et ma moto fais partie de moi.....nous chantons toutes les deux ensemble!
    Je suis une amoureuse de la vie!
    [smilie=cheerssmilie.gif]
    :wink:
    Les passions font vivre....
    La sagesse fait durer!
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  • Une autre suite.................


    --------------------------------------------- :wink:
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    Je te salut toi homme des grand espaces.
    HADOC
  • Chez-nous, c'était un Farmall 140, ceux qui se conduisent sur le côté. Plus tard, j'ai moi-même acheté un B-275, à gaz. Chez nous, c'était dans les tomates et autres maraîchèrités, faut-il préciser. Le moteur à gaz, c'était mieux.

    8)
    ...
    On repeuple un pays exactement comme on reboise une forêt. Ça prend 20 ans. Après, le premier imbécile venu y met le feu, on ramène le compteur à zéro et les affaires reprennent.
    (Greg)
  • Bon, là Mercredi 7 septembre 08,43 a.m.

    nouvelle épisode.


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    HADOC
  • Le vélo à la barre coupée!

    Je l'avais presque oublié, celui-la! Chez-nous, mon père avait ressorti et rénové le bicycle de sa jeunesse, un CCM de bonne qualité. Y'avait dû le payer assez cher, suppose-je! Comme on était trop petits pour un si grand modèle (un 28 pouces!), son ami garagiste a coupé la barre "des gars" pour la replacer, comme "pour les filles". Comme ça, on pouvait tous s'en servir!

    On était 5, chez nous et des vélos, par après, on a en eu plusieurs! Mais vous me croirez si vous voulez, ben le modifié, il roulait encore, y'a pas si longtemps. Il les a tous survécu!

    Faudrait que je vérifie avec les autres, tiens, pour voir s'il existe encore, ce vélo modifié "pour les filles".

    8)
    ...
    On repeuple un pays exactement comme on reboise une forêt. Ça prend 20 ans. Après, le premier imbécile venu y met le feu, on ramène le compteur à zéro et les affaires reprennent.
    (Greg)
  • Partit ---"5"---

    6 décembre 2011 10,08 a.m.

    Oui je saisça fait un "bout", bon ok, mais j'y est pensé souvent, je n'oubliait pas, là ça doit être la pluies, c'est pas.

    Bon, la dernière fois j'ai arrêté ""là"".


    Et, là mon père qui me voyait faire me prit en pitié, probablement, je cru quelque fois qu'il était fervent de justice lui aussi, mais il n'en parlais pas, il était de cette génération là lui, ils disaient rien à cette époque.
    Donc, un beau jours, en revenant de faire les "commissions" il débarque de la valise de l'auto la bicyclette avec la "barre" coupé, comme sur une bicyclette de filles, et là je pouvait pédalé allègrement, le vent me portait, la route (le rang) s'ouvrait à moi, je sentait comme un vent de liberté me soufflé dans les cheveux, maudit que c'était le fun, grisant....................mais, c'était sans compté avec les "autres"............

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    6 décembre 2011 10,08 a.m.

    Faut que je dise, que je me souvient que ça avais déjà parlé d'une motoneige à la maison, je regardais cette affaire là, j'y comprenais pas grand chose. Et un autre tantôt, le plus vieux m'a montré une photo d'une pub de moto, il me dit qu'il en voudrais une. Pi mon autre frère installa le moteur de ça "chainsas" (scie à chaîne) à la place du pédalier de "notre" bicyclette. Mais, le projet n'étant tout à fait aboutit, il fallait être deux pour manoeuvré la "chose". Lui en place sur le siège, tenais le guidon de gauche et de la main droite poussait sur le moteur et donnais du gaz, moi, assis sur la "barre" je tenais le guidon droit, et ça marchait, on roulais dans la rang, nous somme allé jusque chez notre oncle. Et à notre retour deviné ce qu'a dit notre père quand il a vue la "chose", elle n'a jamais été breveté..................Mais ça reste quand même ma première "ride à deux roues"............ [smilie=canadiansmilie.gif]
    Vas toujours me rappelé de ce jour, je pense que c'est un des plus beau cadeau que j'ai eu. Bof, ok j'était pas "tu" seule. Pi là, y en un qui est arrivé, pi il a m'y une "horaire" sur le "bécique". Moi je "pouvais " le prendre entre tel heure et tel heure, et je vous fait grâce de tout le reste des "recommandations".
    Bon, ok c'est ça le partage, la famille, autrement dit, si personne ne le prenais avant moi, ben bingo................
    Je pouvais allé plus loin, et surtout plus longtemps, ou je voulais, toujours seule, il n'y avait que deux bicyclettes dans le coin, les autres travaillais, moi j'était trop petit, ils voulaient pas me voir, quand ça faisaient leurs affaires, pi quand il voulais de moi, c'est quand ça faisait mon affaire à moi.....................

    [attachment=2]IMG_0308.JPG[/attachment]

    Chez nous ça ressemblais un peut à ça, c'est comme si notre ferme était un peut au loin, d'un côté la plaine du St-Laurent, de l'autre les collines.

    [attachment=1]IMG_0066.JPG[/attachment]

    Ici ont peut se rendre compte de la pente des deux côté, à droite c'est les collines, gauche la pleine du St-Laurent, la petite maison planche à droite c'est la nôtre, elle est à quelque cent pieds de l'endroit de son érection original. La fenêtre du haut à droite était la chambre de mon "ti" frère et moi.

    À l'école, ben, nous n'étions pas "mêlé" avec la ville, c'était celle de la "campagne".
    À 10 ans, j'allais bien en ville avec mes parents de temps en temps, c'était grand à ci perdre, et ça m'es arrivé. Petite crise d'indépendance face à ma soeur qui voulais me "draivé" comme elle veux, oui j'était capable de trouvé mon chemin, à moins de dix ans, de traversé la ville de part en part et me rendre à destination, sens me perdre ha ha ha le "ti cu", je me suis perdu pas à peut près. En fin de compte c'est un voisin qui m'as reconnu sur la rue, il m'a faite monté dans son "pickup" avec tous ces enfants à lui, sa femme, nous devions être six ou sept sur le siège avant, et assis sur le planché, à cherché ou je devais me rendre en fin de compte...................... :mrgreen:
    Nous avons fini par trouvé la fameuse "parenté" ou je devais me rendre pour attendre mes parents. Bon, c'était ma première tentative dans la grande ville, pas un gros succès, ok, mais j'aurais tout le loisir de recommencé, et là de réussir.................ce n'était qu'un début, je l'aurais ma liberté.
    À cette époque il y avait souvent des "encants" sur les fermes au alentour, les gens qui habitait une ferme vendait tous leurs "gréments" veaux, vaches, cochons, maison, grange, et partait pour la ville, la ville, ça me fascinait de plus en plus, je pensait que c'est ""là"" que c'était le plus bo, je pensait que c'était là LA LIBERTÉ, le plus intéressent, le plus fascinent, maudit que c'est bo l'innocence.............
    Pi, ben, un jour ce fut notre tour, mon père a vendu la ferme, ont a déménagé pour une autre ville, une autre école, une autre maison. Woin, j'était très content, enfin il allait se passé quelque chose, de ce moment je me souviens le plus, c'est que mon frère le plus vieux m'a dit, alors que nous venions de commencé à roulé sur le rang, nous étions assis sur le siège arrière ensemble, il m'a dit: regarde bien la maison, c'est la dernière fois que tu la voie, tu reviendra pas.......................
    Ben y a menti le gars, j'y repasse plusieurs fois par année, comme le prouvent la photo du haut, et celle-ci: [attachment=0]IMG_0064.JPG[/attachment]

    Ça c'est le dernier bâtiment de ferme qui reste, tout les autres sont détruits. Et dire que je rêvais de partir de là, que le bonheur était ailleurs, que je serais plus libre ailleurs............
    Je suis donc arrivé à St-Ferdinand d'Halifax, dans le chalet que fût le notre durant des années. Nous y avons habité sept mois, au mois de décembre.
    Durant l'été j'ai découvert l'eau, passé l'été sans rien dans pieds, mes frères étaient partit, ma soeur, presque, j'était comme un peut plus libre, moins de corvée à faire, j'allais souvent dans le bois en arrière du chalet, j'avais le "Robin Hood" juste pour moi, et j'avais montré à conduire à mon "ti" frère.
    Autre déménagement pour Plessisville cette fois là. Mais c'était pas drôle, en une année, deux nouvelle écoles, des nouveaux "amis" qui n'en était pas. Tout comme dans la chanson de Françoise Hardy " La maison ou j'ai grandi ", j'ai décidé un matin d'y retourné, la voir, le "filing" comme ont dit, tout retrouvé. Je suis partit, j'ai tout planifié, j'irais couché chez mon oncle, je pourrais voir mon cousin avec lequel j'ai été à l'école, mes cousines, les autres "chums" du rang, avoir du fun comme avant.
    Mais non, dans la vie, faut vivre aujourd'hui, pas pour demain, parce que demain est un autre jours, comme dans la chanson, "ma maison ne ma pas reconnu".......................peut être même mes cousines et cousins et mes chums, ça avait changé, j'avais changé, je me dirigeais vers l'adolescence. Après trois jours, en me levant un matin, par la fenêtre je voie venir dans le rang le "postillon" (facteur) dans son auto. Je part en courant, j'arrive à ça hauteur, je lui demande si elle peut me "descendre" en ville, elle dit oui, je part en courent, foule ma petit valise de toute mes choses, tout en oubliant ma collection d' " X13", pas de bonjours n'y de salut, y a put rien pour moi ici, c'est fini, j'ai tourné la page............
    Je venais de grandir un peut. De temps en temps j'empruntait la bicyclette d'un de mes frères pour faire un balade, mais la ville, ça fais dur........................à cette époque, à neuf heure y avait une sirène pour avertir les enfants de rentré dans la maison, défendu d'être dehors, pathétique...................ça se peut tu..............vivre la liberté.............
    Pi un autre déménagement plus tard, nous voici dans une grande maison, une rue tranquille qui me verra grandir un peut, faire les quatre cent coups, mes premières amours, mes première déceptions, mes premières peines, mes premier vrais chums, et toujours cette indépendance qui me tien, l'envi de bougé, regardé au loin, une chambre à moi.....enfin, j'aime peut de chose, mais quand ça me prend, c'est par les tripes, je suis un passionné c'est certain. La musique ne ma lâche pas depuis toujours, il y eu les 78 tours, et la radio, les 33 tours, les 45 tours, j'écoute ça couché sur mon lit, ou quand je suis seule, assis par terre l'oriel dans la haut parleur du radio. Ça me fait "partir", ça me parle, ça me guide, ça m'inspire depuis toujours.

    Bon, là je me doit d'arrêté, du "bizounage" à faire. Je vais essayer de revenir moi tard........


    ------------------------------------------ :wink:
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    HADOC
  • moi je devais avoir 10 ans jetais avec une gang de ti cul de mon age on sort de la cour dans la ruelle dans rosemont y avait un gars qui se demenait a crinquer une moto rouge qui partait pas
    on approche un peu pas trop les gars en moto ca fesait peur ya 40 ansle gars se tourne et nous dis hey les jeunes si vous venez me pousser pour faire partir mon becyk je vous fais chacun un tour dans la ruelle
    on jete un oeuil alentour pas de mere qui surveiile on pars en courant pi on se met a pousser apres 2 ou 3 essais ca part le gars continue un peu on se dit y s en va
    mais non y retourne et revient avec un gros sourire et nous fait chacun un tour dans la ruelle cvetait le debut de ma passion le bike c etait un indian des annes 4 0 environ jen ai rever
    lolll
  • fidel" said:
    moi je devais avoir 10 ans jetais avec une gang de ti cul de mon age on sort de la cour dans la ruelle dans rosemont y avait un gars qui se demenait a crinquer une moto rouge qui partait pas
    on approche un peu pas trop les gars en moto ca fesait peur ya 40 ansle gars se tourne et nous dis hey les jeunes si vous venez me pousser pour faire partir mon becyk je vous fais chacun un tour dans la ruelle
    on jete un oeuil alentour pas de mere qui surveiile on pars en courant pi on se met a pousser apres 2 ou 3 essais ca part le gars continue un peu on se dit y s en va
    mais non y retourne et revient avec un gros sourire et nous fait chacun un tour dans la ruelle cvetait le debut de ma passion le bike c etait un indian des annes 4 0 environ jen ai rever
    lolll
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    ---------------------------------------- :wink:
    image
    Sur la face de la tablette ou reposait une panoplie de pièces de moto de toute sortes Burt Munro avais inscrit " hommage au Dieu de la vitesse"
    Je te salut toi homme des grand espaces.
    HADOC

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