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Jacques Demers = Sénateur
C'est tout un honneur... Quand je pense à mon passé, d'où je suis parti pour en arriver là, jamais un jour je n'aurais cru être nommé sénateur.»
C'est en ces mots que Jacques Demers, l'ancien entraîneur du Canadien de Montréal, a commenté son plus récent exploit: sa nomination au Sénat. En entrevue téléphonique avec La Presse hier, Demers, 65 ans, a répété à quel point cette nomination représente un immense honneur pour lui.
Demers, qui est le dernier entraîneur du Canadien à avoir remporté la Coupe Stanley, pouvait à peine contenir son enthousiasme.
«Sur le plan professionnel, il s'agit du deuxième plus grand exploit de ma vie, a-t-il ajouté. Le plus gros, c'est bien sûr la conquête de la Coupe Stanley en 1993 avec le Canadien. Il n'y a rien qui peut battre ça. Mais juste ensuite, il y a cette bonne nouvelle-là. C'est arrivé très vite. Le 13 juillet, j'ai reçu un appel d'une personne de l'entourage du premier ministre. On m'a demandé si j'étais intéressé à devenir sénateur... Ça m'a surpris, parce que j'avais déjà refusé de me lancer en politique avec les conservateurs il y a quatre ans. Je n'étais pas à l'aise avec cette proposition à l'époque, et je pensais qu'une fois qu'on disait non au premier ministre, plus personne n'allait me rappeler par la suite... Mais je le répète, il s'agit d'un grand honneur pour moi. Je n'aurais jamais cru que ça allait m'arriver.»
Demers, qui va poursuivre malgré tout son travail d'analyste en hockey à la radio et à la télévision («mes patrons comprennent très bien la situation», a-t-il fait remarquer) n'entend pas être un sénateur effacé. Au contraire, il promet de profiter de ses 10 années au Sénat pour s'attaquer au problème de la pauvreté.
«J'ai dit en acceptant ce poste que je ne voulais pas être là juste à cause de mon nom. Ça, ça ne m'intéressait pas. Ce que je veux faire, c'est profiter de ma position pour aider les jeunes en difficulté, pour aider les analphabètes, et lutter contre la pauvreté au Québec et dans le reste du pays. Je veux m'impliquer dans ces causes-là, et si je réussis à faire changer les choses au cours de mes 10 années comme sénateur, je serai très content.»
L'ancien entraîneur du Canadien, qui affirme s'être mis à la lecture et à l'écriture depuis la sortie de sa biographie il y a quatre ans, estime que son propre passé pourrait servir d'exemple aux jeunes en difficulté de tout le pays. C'est d'ailleurs le message qu'il entend livrer au cours des 10 prochaines années.
«Quand je pense à tout ça, d'où je suis parti pour en arriver là... J'ai été élevé dans la pauvreté, j'étais analphabète, et j'ai vraiment à coeur le sort des jeunes qui souffrent. J'espère seulement que mon histoire va pouvoir les inspirer, j'espère que je vais pouvoir apporter quelque chose de spécial.
«Je ne connais pas encore tous les détails de mon engagement, je dois rencontrer sous peu les gens de M.Harper. Mais je tiens à m'impliquer», a-t-il conclu.
C'est en ces mots que Jacques Demers, l'ancien entraîneur du Canadien de Montréal, a commenté son plus récent exploit: sa nomination au Sénat. En entrevue téléphonique avec La Presse hier, Demers, 65 ans, a répété à quel point cette nomination représente un immense honneur pour lui.
Demers, qui est le dernier entraîneur du Canadien à avoir remporté la Coupe Stanley, pouvait à peine contenir son enthousiasme.
«Sur le plan professionnel, il s'agit du deuxième plus grand exploit de ma vie, a-t-il ajouté. Le plus gros, c'est bien sûr la conquête de la Coupe Stanley en 1993 avec le Canadien. Il n'y a rien qui peut battre ça. Mais juste ensuite, il y a cette bonne nouvelle-là. C'est arrivé très vite. Le 13 juillet, j'ai reçu un appel d'une personne de l'entourage du premier ministre. On m'a demandé si j'étais intéressé à devenir sénateur... Ça m'a surpris, parce que j'avais déjà refusé de me lancer en politique avec les conservateurs il y a quatre ans. Je n'étais pas à l'aise avec cette proposition à l'époque, et je pensais qu'une fois qu'on disait non au premier ministre, plus personne n'allait me rappeler par la suite... Mais je le répète, il s'agit d'un grand honneur pour moi. Je n'aurais jamais cru que ça allait m'arriver.»
Demers, qui va poursuivre malgré tout son travail d'analyste en hockey à la radio et à la télévision («mes patrons comprennent très bien la situation», a-t-il fait remarquer) n'entend pas être un sénateur effacé. Au contraire, il promet de profiter de ses 10 années au Sénat pour s'attaquer au problème de la pauvreté.
«J'ai dit en acceptant ce poste que je ne voulais pas être là juste à cause de mon nom. Ça, ça ne m'intéressait pas. Ce que je veux faire, c'est profiter de ma position pour aider les jeunes en difficulté, pour aider les analphabètes, et lutter contre la pauvreté au Québec et dans le reste du pays. Je veux m'impliquer dans ces causes-là, et si je réussis à faire changer les choses au cours de mes 10 années comme sénateur, je serai très content.»
L'ancien entraîneur du Canadien, qui affirme s'être mis à la lecture et à l'écriture depuis la sortie de sa biographie il y a quatre ans, estime que son propre passé pourrait servir d'exemple aux jeunes en difficulté de tout le pays. C'est d'ailleurs le message qu'il entend livrer au cours des 10 prochaines années.
«Quand je pense à tout ça, d'où je suis parti pour en arriver là... J'ai été élevé dans la pauvreté, j'étais analphabète, et j'ai vraiment à coeur le sort des jeunes qui souffrent. J'espère seulement que mon histoire va pouvoir les inspirer, j'espère que je vais pouvoir apporter quelque chose de spécial.
«Je ne connais pas encore tous les détails de mon engagement, je dois rencontrer sous peu les gens de M.Harper. Mais je tiens à m'impliquer», a-t-il conclu.
Est grand non pas qui gagne toujours, mais celui qui n'abdique jamais
Réponses
Pas si mal, un petit contrat de dix ans a ce salaire la.
Enjoy the ride
Il c'est battu tout sa vie et aujourd'hui il est récompensé. C'est rare que j'écris ça, mais je suis content pour lui
Ce gars la est un passioné, espérons qu'il pourra accomplir son rêve d'aider les plus démunis
LA RADIO DES MOTOCYCLISTES http://www.motodirect.net/radio
COURRIEL: lecavalierdenis@yahoo.com
Contant pour Demers. Si ce n'était pas lui c'était une autre.
Pensez-y, ça aurait pu être Normand l'Amour :shock:
prof
aurait pas fait pire que certains.
Un coup parti, qu'il nomme Michel Bergeron, les deux font la paire.
105 sénateurs a un minimun de $132,000 logement,compte de dépenses, revient cher en ?*%$/
J'espère qu'ils parlent pas d'augmenter les taxes.
Demers va avoir de méchante journée, conserve son rôle a Rds, radio et en plus Ottawa, va lui prendre un hélico :lol:
Il n'aura pas la majorité de son coté, mais il peut quand même brasser