Actualité SAAQ

Réponses

  • VAC" said:
    Me semble qu'on avait une assurance 10 étoiles...

    Ça pas l'air de ça à lire les gens qui commentent dans cet article... :roll:
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  • 8) Si on met de côté le sensationnel, pour évaluer ça de manière rationnelle, ça démontre que la SAAQ a des politiques et des règles de fonctionnement comme toute autre compagnie d'assurance.

    Parce que c'est un organisme de l'appareil public, on pense à tort qu'elle est là pour nous sécuriser tous, dans tous les cas et sans retenue. Or ce n'est pas le cas malgré tous les articles et les règles qu'on dépose à la vue de tous. La SAAQ est comme les autres, il faut qu'elle balance ses comptes et s'autofinance. Et en ce sens, il y'a du monde qui prennent des décisions qui sont en fonction de la santé de l'organisme et qui sont parfois au détriment des assurés malgré la publicité et les règles qu'ils se donnent dans leur charte. Pas pour rien que des avocats font bien leur vie à faire renverser leurs décisions. Est-ce que ça veut dire que la SAAQ c'est pas bon !? Non, elle trouve sa raison d'être dans le pourquoi elle a été mise sur pied. Et elle doit continuer. Mais il faut que les usagers sachent qu'il faille se préoccuper de leurs propres assurances et cessent de croire au parapluie de la providence.

    Nonobstant, il faut quand même admettre que les chocs post traumatiques et les lésions au dos demeurent un secteur nébuleux de la médecine et où la guérison n'est pas garantie malgré les nombreuses méthodes modernes. Deux médecins spécialistes en la matière seront souvent en contradiction et la SAAQ utilise les siens. Dans quel but croyez-vous ?
  • Je partage ta vision VAC. La SAAQ est une compagnie d'assurance point.

    Avant l'entrée en vigueur de la loi sur l'assurance automobile, il y avait des litiges entre avocats pour déterminer la "responsabilité" de l'accident" et ensuite il y avait encore des litiges sur les "montants à verser aux victimes". Et durant toutes ces étapes, c'était le compteur des honoraires d'avocats qui tournait.

    La loi a fait en sorte qu'on élimine la recherche des responsables ce qui permet d'accélérer le processus de règlement mais encore là il y a des politiques, règles, etc. à respecter comme dans toute compagnie d'assurance car même si c'est relié à la SAAQ, c'est une fonction de compagnie d'assurance qu'elle doit assumer. La différence par contre avec une compagnie d'assurance, c'est qu'elle n'a pas l'obligation de verser des dividendes aux actionnaires mais plutôt l'obligation d'équilibrer ses revenus/dépenses.

    Il faut donc comprendre que les réclamations des victimes doivent correspondre à différents critères et la limite doit être assez mince dans certains cas pour déterminer la ligne de démarcation pour approuver des remboursements de frais.

    J'aimerais pas être le médecin spécialiste qui a déterminé qu'elle n'avait plus besoin de soins :?
    Mais aussi, il faut faire attention de porter un jugement rapide étant donné qu'on n'a qu'un entrefilet dans un quotidien.
  • Monik" said:
    Je partage ta vision VAC. La SAAQ est une compagnie d'assurance point.

    Avant l'entrée en vigueur de la loi sur l'assurance automobile, il y avait des litiges entre avocats pour déterminer la "responsabilité" de l'accident" et ensuite il y avait encore des litiges sur les "montants à verser aux victimes". Et durant toutes ces étapes, c'était le compteur des honoraires d'avocats qui tournait.

    La loi a fait en sorte qu'on élimine la recherche des responsables ce qui permet d'accélérer le processus de règlement mais encore là il y a des politiques, règles, etc. à respecter comme dans toute compagnie d'assurance car même si c'est relié à la SAAQ, c'est une fonction de compagnie d'assurance qu'elle doit assumer. La différence par contre avec une compagnie d'assurance, c'est qu'elle n'a pas l'obligation de verser des dividendes aux actionnaires mais plutôt l'obligation d'équilibrer ses revenus/dépenses.

    Il faut donc comprendre que les réclamations des victimes doivent correspondre à différents critères et la limite doit être assez mince dans certains cas pour déterminer la ligne de démarcation pour approuver des remboursements de frais.

    J'aimerais pas être le médecin spécialiste qui a déterminé qu'elle n'avait plus besoin de soins :?
    Mais aussi, il faut faire attention de porter un jugement rapide étant donné qu'on n'a qu'un entrefilet dans un quotidien.
    8) "L'entrefilet" fait ressortir un cas typique qui fait la fortune d'avocats qui se spécialisent dans les dossiers de victimes à la SAAQ. La SAAQ ne reconnaît pas grand chose en matière de "post traumatique" CAD des cas de personnes victimes de dépression profonde suite à des blessures qui demandent des soins prolongés en réhabilitation. Il y'a beaucoup de cas de décisions de la SAAQ, dont le public ne connais pas l'existence et qui sont contestés dans diverses cours.

    C'est le cas classique d'une personne dont la SAAQ a soigné les blessures physiques mais qui la laisse aller alors que la personne est mentalement démolie, incapable de reprendre son emploi ou sa vie de tous les jours précédent l'accident. Pour la SAAQ, la blessure physique est réglée maintenant pour les douleurs constantes et les séquelles psychologiques, la SAAQ considère que la personne doit aller voir ailleurs.

    Quand on a les moyens de se payer une assurance personnelle pour palier à cette éventualité, ou qu'on travaille pour un employeur dont l'assurance collective couvre ce genre de chose, on est favorablement supporté suite à la fin de la prise en charge par la SAAQ. Les autres, ben c'est comme dans l'article de journal.

    Le but de mon post est de sensibiliser les gens aux limites que représentent la couverture de la SAAQ si des blessures graves autres que physiques immobilisent des accidentés de la route pendant des années.

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